Un visuel sur le thème «Castità» sur Flickr

Le thème « Castità » par raffaele pagani

Publiée sur Flickr par raffaele pagani, une image est consacrée au thème « Castità » et en présente quelques aspects.

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L’image mise en ligne par raffaele pagani porte le titre « Raffaello Sanzio (1483-1520) – Estasi di Santa Cecilia fra i Santi Paolo, Giovanni Evangelista, Agostino e Maria Maddalena (1518) – Olio su tavola trasportato su tela 236 x 149 cm- Galleria Nazionale, Bologna ». À la date à laquelle nous l’avons consultée sur Flickr elle s’était déjà propagée sur internet (Compteur de vues : 5452).

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Description précisée sur Flickr : « Raphael Sanzio (1483-1520) – Ecstasy de Saint Cecilia Beteween Saint Paul, John the Evangelist, Augustine et Mary Magdalene (1518) – Huile sur le transport du panneau sur toile 236 x 149 cm – Bologne Le célèbre peinture, Masterpiece de la maturité de Raffaello, dépeint le moment de l’établissement de l’Etasi di Santa. Cecilia, dans laquelle le saint laisse les cannes du corps porteur glisse qui a encore entre ses mains, un symbole de joies terrestres et tourne son regard vers le chœur des anges, emblème de l’amour divin. Les saints qui la couronnent ne sont pas impliqués dans l’expérience mystique de Cecilia, mais expriment aussi, avec le jeu de looks, l’idée de l’amour absolu en contraste avec l’amour terrestre. St. Paolo Medita observant les instruments de musique sur le terrain, les saints Giovanni et Agostino sont concentrés dans un dialogue intense de regards, Maria Maddalena s’adresse à l’observateur qui l’invitant à assister au mystère et montrant le vase contenant l’huile avec laquelle il voulait graisse, ému par l’amour, les pieds du Christ. Raffaello attribue à la figure humaine le rôle de l’élément central de la représentation, réunissant le groupe de saints dans un espace collecté en demi-cercle qui fait allusion à l’abside d’une église et réduisant le paysage du paysage. L’originalité de la «nature morte» des instruments de musique au premier plan pour l’exécution duquel Raffaello a utilisé son étudiant et collaborateur Giovanni Da Udine. La peinture a été réalisée à Rome, puis amenée à Bologne pour être placée dans l’église de San Giovanni à Monte dans la chapelle de la famille d’Elena Duglieoli de l’huile. Autour d’Elena, une femme en culture, dévouée et dévouée aux œuvres de charité, s’était propagée dans la ville, à partir de 1506, une profonde vénération: la vie de la femme était unie à celle de Santa Cecilia pour la chasteté vécue dans le mariage et pour ses visions mystiques. The subject therefore revolves around the identification between Cecilia and Elena expressed in the iconography of ecstasy and in collateral themes: the renunciation of the pleasures of social life is represented by broken musical instruments and thrown on the ground, while the exaltation of virginity is recalled by the traditional symbol of chastity of the high belt that closes the refined guise of the Santa Giorgio Vasari, which constitutes the most ancient source, La commission au cardinal Lorenzo Pucci frère de l’évêque Antonio Pucci qui, pendant son séjour bolognais, avait conclu une relation avec Elena Duglieoli de l’huile. L’arrivée de la peinture du plus grand artiste de la cour papale avec un sujet lié au culte d’Elena Duglieli représentait un élément de propagande important pour la restauration du pouvoir papal pour la bologne. Dans l’environnement artistique émilien, l’excellence stylistique et la portée innovante du « Santa Cecilia » ont rencontré divers degrés de compréhension et d’interprétation, mais le pouvoir évocateur exercé par l’œuvre était énorme au point de constituer le pivot autour de laquelle l’évolution de la peinture locale se déplacera jusqu’au XVIIe siècle. La peinture de renommée mondiale, un chef-d’œuvre de la maturité de Raphaël, déprictait le moment de l’extase de Saint-Cécilia, dans lequel le saint laisse glisser les pipes de l’organe de Portativa qu’elle tient toujours dans ses mains, le symbole des joies terrestres, et tourne son regard vers la chœur de Angels, l’emblème de l’amour divin. Les saints qui l’entourent ne sont pas une involution dans l’expérience mystique de Cecilia, mais ils expriment également, à travers le jeu de leurs regards, l’idée d’amour absolu par opposition à l’amour terrestre. Saint-Paul médite tout en observant les instruments de musique sur le terrain, les saints John et Augustin sont concentrés dans un dialogue intense de regards, Mary Magdalene s’adresse au spectateur qui l’invite avec le mystère et montrant le pot contenant l’huile avec laquelle elle voulait oigner, a déménagé. Par l’amour, les pieds du Christ. Raphael attribue à la figure humaine le rôle de l’élément central de la représentation, recueillant le groupe de saints dans un espace semi-circulaire rassemblé qui allaie à l’opse d’une église et réduisant le fond du paysage. L’originalité est extraordinaire du « nature morte » des instruments de musique au premier plan, pour l’exécution de laquelle Raphaël a utilisé son élève et collaborateur Giovanni Da Udine. Le tableau a été exécuté à Rome puis emmené à Bologne pour être placé dans l’église de San Giovanni à Monte dans la chapelle familiale d’Elena Duglioli Dall’olio. Autour d’Elena, une femme cultivée et dévote consacrée aux œuvres de charité, une profonde vénération s’est propagée dans la ville depuis 1506: la vie de la femme était comparée à celle de Saint-Cecilia en raison de la chasteté qu’elle vivait dans le mariage et ses visions mystiques. Le sujet tourne ainsi autour de l’identification entre Cecilia et Helena exprimée dans l’iconographie de l’extase et dans les thèmes collatéraux: la renonciation aux plaisirs de la vie mondaine est représentée par les instruments de musique brisés lancés au sol, tandis que l’exaltation de la virginité est rappelée par le symbole traditionnel de la châtité de la haute ceinture qui ferme le Saint Early Source, attribue la commission au cardinal Lorenzo Pucci, frère de l’évêque Antonio Pucci, qui, pendant son séjour à Bologne, était entré dans une relation avec Elena Duglioli Dall’olio. L’arrivée du tableau par le plus grand artiste de la cour papale avec un sujet lié au culte d’Elena Duglioli représenté pour Bologne un élément important de propagande pour la restauration du pouvoir papal. Dans le milieu artistique d’Emilia, l’excellence stylistique et la portée innovante de « Saint Cecilia » rencontré divers degrés de compréhension et d’interprétation, cependant, le pouvoir évocateur exercé par l’œuvre était énorme au point qu’elle constituait le pivot autour de laquelle l’évolution de la peinture locale se déplacerait jusqu’au XVIIe siècle. ».

La perception de l’homme inconstant.

En d’autres termes, l’homme est souvent vu comme plus porté à la volage et à la masturbation en dehors du couple. Il doit donc suivre des règles de chasteté plus rigoureuses pour assurer la confiance de son ou sa partenaire. Par amour, il peut alors offrir toute son énergie, son désir et son affection, comme un acte sacré inspiré par Dieu. Ce don de soi représente un engagement profond, un reflet de la sainteté à laquelle chaque homme est appelé.

L’engagement envers l’autre se manifeste à travers la chasteté et la fidélité.

La fidélité, pour l’époux, est intimement connectée à la chasteté conjugale. La fidélité englobe non seulement l’évitement des relations sexuelles extraconjugales, mais aussi la pureté des pensées et des actions. Il est crucial de contrôler ses pulsions sexuelles pour préserver la confiance dans la relation avec son épouse. www.chastete.fr/chastete-controlee/ analyse en détail le sujet de la chasteté dans un couple.

Cela peut nécessiter la lutte contre la pornographie, l’évitement des relations intimes avec d’autres femmes, et le refus de flirter. La chasteté devient ainsi un acte de don de soi, préservant l’époux et son corps, ainsi que la famille, l’enfant et le foyer des dangers externes.

La valeur de la chasteté avant le mariage est généralement respectée comme une norme morale. La motivation pour cette pratique provient souvent de croyances religieuses ou culturelles. Observer cette norme est souvent considéré comme un indicateur de discipline personnelle. La chasteté avant le mariage est régulièrement traitée dans les programmes éducatifs religieux.

Avant le mariage, la chasteté représente un engagement essentiel pour un couple, indépendamment de sa foi. Pour une femme, garder la pureté du corps avant le mariage est souvent perçu comme une valeur précieuse. La virginité de la mariée est une source de grande fierté pour elle, sa famille et son époux dans toutes les religions, y compris l’Islam. La chasteté avant le mariage peut présenter des défis particulièrement importants pour un garçon. L’effort pour un garçon de rester abstinent jusqu’à l’union est complexe sans l’assistance de moyens comme une cage de chasteté. Le combat pour la maîtrise de soi est une véritable démonstration d’amour, préparant le couple à une relation empreinte de respect. Avant le mariage, la continence ne se limite pas à préserver la pureté du corps, mais prépare aussi spirituellement le couple pour une union plus harmonieuse. En respectant cette voie, on contribue à construire une sexualité robuste pour les futurs époux.

La chasteté dans le mariage est vouée à l’amour.

De nombreux couples définissent des règlements de vie pour garantir la fidélité et la chasteté de l’homme. Ce n’est pas que la femme ait une plus grande liberté pour des aventures extraconjugales, mais elle jouit en général d’une confiance accrue. La chasteté conjugale est en effet majoritairement celle du mari dans 95 % des cas. L’homme doit porter un dispositif de chasteté, tel qu’une cage de chasteté, qui enferme son pénis et interdit toute activité sexuelle. À cet égard, la cage de chasteté est d’une efficacité parfaite. Quand la cage est fixée autour des organes génitaux, le pénis est bloqué en repos, plié vers le bas au-dessus des testicules. L’homme est obligé d’abandonner toute pensée sexuelle, se concentrant uniquement sur le moment de sa libération et sur la jouissance mutuelle avec son âme sœur. Le sacrifice effectué est un don de soi, un acte d’amour présenté devant Dieu.

L’émergence des ceintures de chasteté pour hommes.

Les ceintures de chasteté pour hommes semblent avoir fait leur entrée dans la sexualité uniquement aux XVIIIe et XIXe siècles. Elles étaient principalement employées pour des raisons médicales, pour la formation des jeunes adultes et pour prévenir la masturbation, la sexualité pré-maritale, l’infidélité, et aussi par dévotion envers Dieu, quelle que soit la religion. L’acte de chasteté, inspiré par la révérence envers Dieu, représente un engagement vers une vie plus pure et consacrée.

Développement historique de la pratique de chasteté.

Aujourd’hui, la chasteté est différente de la manière dont elle était observée au Moyen Âge. Le doute autour de la chasteté était surtout orienté vers les femmes au Moyen Âge. Des récits plus ou moins authentiques mentionnent la ceinture de chasteté imposée par un mari à son épouse lorsqu’il quittait le foyer. Il y a relativement peu de preuves de chasteté réciproque dans les sources historiques.

La chasteté conjugale est souvent perçue comme une manifestation d’amour profond entre partenaires. Cette pratique est souvent reliée à un engagement mutuel ainsi qu’à la préservation de l’intimité conjugale. La chasteté conjugale peut également symboliser un respect profond des valeurs partagées entre les partenaires.

La chasteté conjugale contribue à renforcer l’amour et la confiance au sein du couple. Même en cas de pratique unilatérale par l’homme, la chasteté favorise la pérennité de la flamme réciproque. L’Église de Vatican II considère la chasteté comme une vertu fondamentale dans le mariage et le service au Christ. Cet engagement sacré envers la chasteté est une offrande à Dieu et un respect des saints, qui consolide l’amour conjugal en le consacrant à la sainteté.

La chasteté est une discipline personnelle clé pour les hommes. La chasteté masculine est souvent considérée comme une autodiscipline sévère. Une forte implication personnelle et des principes sont nécessaires pour garder la chasteté. La chasteté masculine favorise le renforcement de l’autodiscipline, de la volonté et du caractère.

La flamme réciproque est préservée par la chasteté conjugale, même si uniquement le mari la met en œuvre. La chasteté est reconnue comme une vertu majeure dans la vie par l’Église catholique. Cette vertu est considérée comme un don de soi au Christ, à Dieu et à l’autre, comme le montrent les vies de nombreux saints. Comme le Christ, beaucoup de saints ont associé leur chasteté à une dévotion entière à Dieu. Saint Joseph, mari de Marie, est souvent cité comme un exemple de chasteté conjugale. Une histoire de Saint Bernard de Clairvaux, moine cistercien du XIIe siècle, raconte qu’il se jeta dans un buisson d’épines pour réprimer ses désirs. Saint François d’Assise, avant son engagement envers Dieu et le Christ, menait une vie luxueuse et plaisante. Répondant à un appel profond de Dieu, Saint François d’Assise choisit la pauvreté et la chasteté. Sa famille tenta de détourner Saint Thomas d’Aquin de la vie monastique quand il était jeune. La tradition raconte que Saint Thomas d’Aquin utilisa un tison ardent pour écarter une femme envoyée pour le séduire. À 11 ans, Sainte Maria Goretti préféra la mort à la tentation du péché.

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